Hôtel Haerens

En 1928, l'architecte Art déco Antoine Courtens mena de front deux projets d'ampleur: la construction du Palais de la Folle Chanson à Ixelles et la construction de l'Hôtel Haerens pour l'ingénieur Robert Haerens et son épouse, la sculptrice Luisa Robelus. Le programme prévoyait deux logements distincts, avec entrées séparées. L'appartement principal, à l'étage, avec son entrée monumentale avenue Brugmann, comprenait un hall de réception central et circulaire, coiffé d'une coupole laissant pénétrer la lumière naturelle au cœur de l'appartement. Comme toujours chez Antoine Courtens, les finitions sont très soignées: découpe et agencement des marbres, ferroneries ouvragées dessinées par l'architecte... Le bâtiment est aujourd'hui occupé par des bureaux.

En 1928, l'architecte Art déco Antoine Courtens mena de front deux projets d'ampleur: la construction du Palais de la Folle Chanson à Ixelles et la construction de l'Hôtel Haerens pour l'ingénieur Robert Haerens et son épouse, la sculptrice Luisa Robelus. Le programme prévoyait deux logements distincts, avec entrées séparées. L'appartement principal, à l'étage, avec son entrée monumentale avenue Brugmann, comprenait un hall de réception central et circulaire, coiffé d'une coupole laissant pénétrer la lumière naturelle au cœur de l'appartement. Comme toujours chez Antoine Courtens, les finitions sont très soignées: découpe et agencement des marbres, ferroneries ouvragées dessinées par l'architecte... Le bâtiment est aujourd'hui occupé par des bureaux.

En 1928, l'architecte Art déco Antoine Courtens mena de front deux projets d'ampleur: la construction du Palais de la Folle Chanson à Ixelles et la construction de l'Hôtel Haerens pour l'ingénieur Robert Haerens et son épouse, la sculptrice Luisa Robelus. Le programme prévoyait deux logements distincts, avec entrées séparées. L'appartement principal, à l'étage, avec son entrée monumentale avenue Brugmann, comprenait un hall de réception central et circulaire, coiffé d'une coupole laissant pénétrer la lumière naturelle au cœur de l'appartement. Comme toujours chez Antoine Courtens, les finitions sont très soignées: découpe et agencement des marbres, ferroneries ouvragées dessinées par l'architecte... Le bâtiment est aujourd'hui occupé par des bureaux.

En 1928, l'architecte Art déco Antoine Courtens mena de front deux projets d'ampleur: la construction du Palais de la Folle Chanson à Ixelles et la construction de l'Hôtel Haerens pour l'ingénieur Robert Haerens et son épouse, la sculptrice Luisa Robelus. Le programme prévoyait deux logements distincts, avec entrées séparées. L'appartement principal, à l'étage, avec son entrée monumentale avenue Brugmann, comprenait un hall de réception central et circulaire, coiffé d'une coupole laissant pénétrer la lumière naturelle au cœur de l'appartement. Comme toujours chez Antoine Courtens, les finitions sont très soignées: découpe et agencement des marbres, ferroneries ouvragées dessinées par l'architecte... Le bâtiment est aujourd'hui occupé par des bureaux.

En 1928, l'architecte Art déco Antoine Courtens mena de front deux projets d'ampleur: la construction du Palais de la Folle Chanson à Ixelles et la construction de l'Hôtel Haerens pour l'ingénieur Robert Haerens et son épouse, la sculptrice Luisa Robelus. Le programme prévoyait deux logements distincts, avec entrées séparées. L'appartement principal, à l'étage, avec son entrée monumentale avenue Brugmann, comprenait un hall de réception central et circulaire, coiffé d'une coupole laissant pénétrer la lumière naturelle au cœur de l'appartement. Comme toujours chez Antoine Courtens, les finitions sont très soignées: découpe et agencement des marbres, ferroneries ouvragées dessinées par l'architecte... Le bâtiment est aujourd'hui occupé par des bureaux.

En 1928, l'architecte Art déco Antoine Courtens mena de front deux projets d'ampleur: la construction du Palais de la Folle Chanson à Ixelles et la construction de l'Hôtel Haerens pour l'ingénieur Robert Haerens et son épouse, la sculptrice Luisa Robelus. Le programme prévoyait deux logements distincts, avec entrées séparées. L'appartement principal, à l'étage, avec son entrée monumentale avenue Brugmann, comprenait un hall de réception central et circulaire, coiffé d'une coupole laissant pénétrer la lumière naturelle au cœur de l'appartement. Comme toujours chez Antoine Courtens, les finitions sont très soignées: découpe et agencement des marbres, ferroneries ouvragées dessinées par l'architecte... Le bâtiment est aujourd'hui occupé par des bureaux.